Satanisme : garder l'oeil ouvert au Luxembourg, comme ailleurs
Auteur d'une enquête sur les sectes en Belgique et au Luxembourg, Alain Lallemand, journaliste au Soir, jette un regard sur les derniers développements de "l'affaire Dutroux" et sur la piste sataniste qu'exploitent les enquêteurs.
Le Républicain Lorrain : Quel est selon vous le potentiel de dangerosité des sectes dites " satanistes "?
La Wicca internationale de Jacques Coutela et Nicole L'Hotellier a débouché sur un suicide collectif en mars 1995 au Kremlin Bicêtre, à Paris. On a retrouvé Coutela pendu, sa fille empoisonnée, et la Grande prêtresse abattue à coups de revolver. ... Par ailleurs, et des adeptes repentis l'ont confirmé, la Wicca internationale pratiquait effectivement une série de rites sexuels confinant à la pathologie.
(source : Alain Lallemand, édition luxembourgeoise du Républicain Lorrain, 28 décembre 1996)
En janvier 2001, une personne ayant lu mon article sur les dangers de l'occultisme m'écrivait son désarroi devant mon ignorance de la Wicca. Cette religion, dont je n'avais pas encore entendu parler, est pratiquée par les Wiccans, des sorciers des temps modernes qui n'utilisent la magie que pour le bien et qui ne croient ni en Dieu ni au diable. Cette religion a pour particularité, m'écrivait-on, de ne pas avoir de chef, de paroisse ou de livre sacré. C'est un mouvement religieux dont la règle principale est de ne faire tort à personne et de croire qu'aucune religion ne vaut mieux qu'une autre.
Découvrant en effet mon ignorance sur cette question, je fis des recherches exactes afin de mieux connaître ce que croient et pratiquent les Wiccans.
La Wicca fait partie des nouvelles spiritualités en pleine expansion. C'est une résurgence de croyances païennes plus anciennes remises au goût du jour par les anglo-saxons. Nous allons certainement rencontrer de plus en plus de "gentilles sorcières" qui pratiquent la magie blanche et vénèrent la nature. Il est donc important de connaître les fondements de cette religion.
La nouvelle spiritualité se décline en plusieurs croyances : le panthéisme, le monisme, le polythéisme et le paganisme.
Panthéisme : Tout est divin. L'esprit, la force, l'énergie ou la divinité remplit toutes choses et donne à la nature sa vie spirituelle.
Monisme : Tout est un. Puisque tout est divin, toutes choses sont reliées entre elles. C'est à nous de les réunir dans la réalité des faits par un mouvement de globalisation.
Polythéisme : Il y a plusieurs dieux. Tout peut être sacralisé et adoré : la terre, le soleil, les arbres, les aigles, nous-mêmes, etc.
Paganisme : Religion polythéiste où l'on pratique toutes les formes de célébrations et de rituels magiques pour communiquer avec les forces spirituelles de la nature. Dans les tribus du monde entier, des chamans, des guérisseurs, des voyants et des sorciers contactent le monde des esprits en utilisant d'anciens rituels et des formules magiques.
Néopaganisme : C'est l'ancienne religion païenne occidentalisée et modernisée. A différencier de sa récupération par les Nazis dans les années 1930, ce réveil du paganisme vient du romantisme des années 1960. Il essaye de syncrétiser toutes les formes de spiritualités non-monothéistes. Pour le néopaganisme, toute personne peut communiquer avec le monde des esprits, manipuler des forces spirituelles et créer une paix mondiale et une unité d'esprit autour de l'énergie cosmique.
La Wicca appartient donc au néopaganisme et a séduit de nombreux occidentaux. Comme le Nouvel-âge, c'est un ensemble de croyances hétéroclites et qui diffèrent d'un pratiquant à l'autre. Elle n'est pas organisée, comme le serait une religion, mais possède néanmoins ses centres, ses livres et ses croyances particulières.
La doctrine de la Wicca repose entièrement sur l'expérience vécue à travers la magie. Ces expériences sont obtenues la plupart du temps dans un état altéré de conscience (par le yoga, la méditation, l'hypnose ou même par l'utilisation de drogues). L'expérience suprême dans la Wicca est ce sentiment "d'être UN avec toutes choses."
La tolérance absolue est un principe de la Wicca. Toute croyance est aussi bonne qu'une autre, il n'y a pas de vérité absolue. Cela est lié au panthéisme. Mais cette tolérance s'arrête à la foi monothéiste. Le très sérieux Conseil des Sorcières Américaines exprime sa désapprobation dans ses Principes de la Foi Wiccane : "Notre animosité envers le Christianisme ou toute autre religion ou philosophie ne s'exprime que lorsque ces institutions se présentent comme étant "le seul chemin" et privent les autres croyants d'exercer leur culte autrement." Les Wiccans ont un grand ressentiment envers la religion catholique qui, au Moyen-âge, persécutait à mort les sorcières.
Le principe fondamental de la foi wiccane est la force, ou énergie vitale (que l'on retrouve dans les médecines douces et surtout dans l'homéopathie). Cette force est liée à l'animisme qui voit en toute chose une force intérieure que l'on peut recevoir ou manipuler. Cette énergie est contactée par la magie, que les wiccans désignent par "magie blanche" pour la différencier de la magie noire sataniste. Cette magie blanche ne serait utilisée que pour le Bien selon la devise des Wiccans : "Fait tout ce qu'il te plaira si cela ne fait de tort à personne."
Les Wiccans vénèrent la nature et plaident pour sa protection. C'est un mouvement qui est aussi très féministe (il y a plus de sorcières que de sorciers) avec une déesse pour chef.
La plupart des wiccans croient, en effet, en la Déesse Mère et son mâle le Dieu Cornu. Cette déesse, associée à la lune, est reconnue sous les noms des divinités de l'Antiquité : Aphrodite, Artémis, Astarté, Diane, Cybèle, Gaïa, Isis, Kali, Vénus, etc... Le Dieu Cornu, lui, est associé au soleil et correspond aux dieux Adonis, Amon-Râ, Apollon, Baphomet, Eros, Hadès, Horus, Lucifer, Odin, Osiris, Pan, Thor, etc...
Certains wiccans croient que ces dieux sont réels, mais la plupart considèrent qu'ils sont la personnification dualiste de l'énergie vitale, la représentation du bien et du mal, de la lumière et des ténèbres, du Yin et du Yang. Certains wiccans croient aussi en l'influence d'esprits médiateurs, sous la forme de guides ou d'anges gardiens.
Les chrétiens doivent savoir que les Wiccans nient formellement l'existence de Satan et de l'Enfer, mais aussi du Dieu de la Bible. Les Wiccans ne doivent pas être confondus avec les Satanistes qui adorent le diable (bien qu'ils lui nient parfois un caractère personnel).
Les promoteurs de la foi wiccane ont cherché des origines antiques à leurs croyances. L'anthropologue et égyptologue Margaret Murray (1863-1963) affirmait dans ses écrits que la sorcellerie était la religion principale de l'Europe avant le Christianisme et qu'elle s'est perpétuée, en cachette, après l'avènement du Christ. La Wicca ne serait donc qu'une résurgence de la plus ancienne religion d'Europe. Sa thèse a été reprise en Angleterre par Gerald Gardner dont nous parlerons ensuite, et aux Etats-Unis par Miriam Simos, alias Starhawk, auteur en 1979 d'un livre influent The Spiral Dance: A Rebirth of the Ancient Religion of the Great Goddess (La dance spirale: renaissance de l'ancienne religion de la Grande Déesse). Elle y explique que la sorcellerie est "peut-être la plus ancienne religion de l'ouest" et qu'elle commença "il y a plus de 3500 ans" pendant l'ère glaciaire.
Les faits historiques ne corroborent pas cette thèse, car la sorcellerie moderne est très différente de son homologue médiévale. Bien que la magie ait été présente de tout temps dans la société, elle n'a pas constitué une religion à part entière comme le prétendent aujourd'hui les fondateurs de la Wicca. Les traditions agriculture/fertilité qui ont traversé les siècles étaient fondées sur la superstition mais ne se pratiquaient pas du tout comme la nouvelle spiritualité. Surtout, la fameuse Déesse Mère n'était pas au centre des rites anciens.
En 1998, Philip G. Davis, professeur de religion à l'Université de l'Ile du Prince Edward, publiait Goddess Unmasked: The Rise of Neopagan Feminist Spirituality (La Déesse Démasquée : Montée de la Spiritualité Féministe et Néo-païenne) dans lequel il développe la thèse qui crédite Gerald Gardner de la naissance de la Wicca. Tout serait venu des Romantiques français et allemands, très intéressés par les forces de la Nature, particulièrement celles liées à la femme. Gardner admirait les Romantiques et appartenait à une société Rosicrucienne appelée La Communion de Crotona. C'est en 1950 que Gardner lance la Wica (avec un seul "c") qu'il aurait reçu d'une réunion de sorcières vieille de plusieurs siècles. Davis précise qu'on n'a jamais eu de trace de ce groupe de sorcières et que Gardner s'est en fait grandement inspiré de Margaret Murray et d'Aleister Crowley.
Un autre chercheur, Ronald Hutton, historien de la religion païenne en Angleterre et professeur à l'Université de Bristol, publia en 1999 The Triumph of The Moon (Le Triomphe de la Lune). Hutton a étudié en détail les pratiques païennes remontant à la préhistoire. Il a de plus étudié les manuscrits non publiés de Gardner et interviewé de nombreux contemporains proches de Gardner. Comme Davis, il n'a pu trouver aucune évidence de l'existence de ce groupe de sorcières d'où Gardner disait détenir sa connaissance de la sorcellerie. Il en conclut que "l'ancienne religion" était en fait un savant mélange d'éléments assez modernes. Deux sources influentes sur Gardner sont mentionnées : Charles G. Leland, un américain qui affirmait avoir découvert un culte vivant dédié à la déesse Diane en Toscane; Margaret Murray, l'égyptologue anglaise, qui s'était elle-même inspirée des idées de Charles Leland. A ces croyances, Gardner ajouta des rites et des objets maçonniques, notamment le pentagramme.
Gerald Gardner (1884-1964) contribua le plus à populariser la sorcellerie moderne. On peut même considérer qu'il en est "l'inventeur". A partir de ses connaissances des livres de magie, de ses voyages, de ses expériences occultes et de la théorie historique de Murray, Gardner créa sa propre religion. Membre de la Franc-maçonnerie, de la Rose-Croix, de l'Ordre des Templiers d'Orient, il pouvait combiner son savoir plus que tout autre. Il basa la nouvelle sorcellerie sur la Déesse Mère et y ajouta un élément qu'il avait ramené d'Asie, la Réincarnation. Au départ, Gardner voulait ressusciter la sorcellerie du passé, mais il finit par en créer une nouvelle.
Initiés par Gardner, un certain nombre d'ésotéristes répandirent la bonne nouvelle. Le mouvement pris son essor aux Etats-Unis dans les années 1960. Il s'est éparpillé en autant d'écoles et de mouvements, certains féministes, lesbiens ou homosexuels, d'autres mêlant hommes et femmes.
L'historien Hutton démolit l'idée que les anciennes coutumes païennes existaient avant le Moyen-âge. Mis à part quelques traditions, aucune pratique - encore moins la vénération de divinités - n'a survécu à l'Antiquité. Il démontre en outre que les rites de fertilité liés aux saisons (comme la danse de Maypole, par ex.), que l'on attribue à un passé immémorial, ne sont pas plus anciens que le Moyen-âge.
Hutton souligne le manque d'évidences montrant que les celtes et les autres cultures païennes aient célébré "les Huit Fêtes de la Roue", centrales dans le culte wiccan. "On a retrouvé aucune fête païenne qui soit l'ancêtre de Easter, la fête que les païens modernes célèbrent à Ostara lors de l'équinoxe du Printemps."
Concernant la persécution des Wiccans, les historiens dénoncent une exagération flagrante. Starhawk mentionne un chiffre de 9 millions de sorciers tués en 400 ans et parle d'un holocauste supérieur à celui des juifs. Ce chiffre est une erreur d'un historien allemand du XVIIIe siècle et doit être ramené à 40.000 tout au plus (ce qui est déjà beaucoup). Dans son livre Witches and Neighbors (Les Sorcières et leurs Voisins), l'historien d'Oxford Robin Briggs fait état en 1996 de ses recherches sur l'histoire des sorcières. Il a étudié les minutes des procès jugeant des sorcières en Europe. Il en conclut que "la chasse" s'est limitée à un siècle, entre 1550 et 1630, et à trois pays, la France, la Suisse et l'Allemagne, déjà secouées par la Réforme protestante. Les sorcières qui passaient en justice n'étaient pas des femmes modernes à l'esprit indépendant mais pour la plupart des femmes pauvres et impopulaires. Leurs accusateurs venaient du peuple et non du clergé. Les autorités n'aimaient pas juger les sorcières et Briggs relate que plus de la moitié des accusées furent disculpées. Aucune de ces sorcières, le fait est frappant, n'a été accusée d'avoir pratiqué "une religion".
(NDE: les Cathares, Vaudois, huguenots, juifs,... persécutés par l'inquisition étaient souvent accusés de sorcellerie mais cela constituait plus un prétexte qu'autre chose).Une autre croyance wiccane est mise à mal par les historiens : le culte antique rendu à une déesse unique. Le problème est que les anciens étaient plutôt polythéistes. Leurs dieux et leurs déesses avaient des domaines d'influence spécifiques : Aphrodite/Vénus régnait sur l'amour; Artémis/Diane régnaient sur la chasse et la fécondité; Arès/ Mars régnaient sur la guerre, etc.... C'est au second siècle après Jésus-Christ qu'un écrivain romain Apuleius ose identifier une déesse, Isis, avec les différentes déesses et forces de la nature.
De nombreuses sorcières sont trompées, par ignorance ou par négligence, en croyant utiliser une force cosmique et une déesse de l'Antiquité pour activer la magie; car derrière ces idoles et cette force se trouvent Satan et ses démons, déguisés en anges de lumière ou en anges gardiens.
En parlant des sacrifices offerts aux différents dieux païens de Rome, l'apôtre Paul écrivait : "Je dis que ce qu'on sacrifie, on le sacrifie à des démons et non à Dieu; or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons." (1Cor. 10:20). Et au sujet de Satan : "Satan lui-même se déguise en ange de lumière." (2Cor 11:14).
Les Wiccans affirment que si l'on utilise la magie pour faire le bien, elle n'est pas maléfique. Pour certains d'entre eux, même, la magie n'a rien de spirituel mais est l'utilisation de puissances psychiques insoupçonnées jusque-là. Il est en effet possible que certains phénomènes soient dus à la supercherie, à de l'auto-hypnose ou à la psychosomatisation (toutes choses dangereuses). Mais dans un certain nombre de cas, l'influence d'esprits invisibles est avérée.
Dans son livre Communiquer avec son Ange Gardien (Editions Bussière), François Haziel nous dépeint des êtres spirituels qui ne nous veulent que du bien :
Celui qui connaît un peu la Bible identifiera immédiatement ces anges à des démons séducteurs. Dieu interdit que l'on cherche, prie ou adore les anges. L'aspect "gentil" de ces esprits ou de ces expérience ne doit pas nous tromper sur leur origine. Leur but est d'éloigner les âmes de Jésus-Christ en se substituant à lui.
De même, les guérisseurs qui croient avoir reçu leur don de Dieu, l'ont en général reçu d'une sorcière, d'une cartomancienne, d'une expérience occulte ou d'un autre guérisseur.
Nous avons connu un guérisseur très puissant qui exerçait son pouvoir gratuitement, "pour le bien des autres". Après sa conversion à Jésus-Christ, il avoua que tout avait commencé lorsqu'une sorcière gitane lui avait remis un talisman. Tout en guérissant les gens, il sentait aussi au fond de lui le besoin de maudire et concevait inconsciemment une rébellion profonde contre le Seigneur Jésus-Christ. Il reçût le plein pardon de Dieu lorsqu'il se repentît de ses pratiques et les abandonna pour croire au Seigneur Jésus-Christ qui avait payé ses fautes sur la croix.
La véritable tolérance, selon le Dictionnaire Robert, est "l'attitude qui consiste à admettre chez autrui une manière de penser ou d'agir différente de celle qu'on adopte soi-même, => compréhension. Tolérer est donc "laisser produire ou subsister une chose qu'on aurait le droit ou la possibilité d'empêcher."
Le croyant tolérant ne cherche pas à imposer sa foi aux autres par la force ou la manipulation, ne veut pas interdire aux autres leur culte ou la manifestation de leurs croyances. L'Eglise romaine n'a pas beaucoup pratiqué cette tolérance dans les siècles où elle était au pouvoir. Pourtant, si ses chefs avaient suivi les paroles de Jésus, il n'en aurait pas été ainsi : "Les disciples Jacques et Jean voyant que le village des Samaritains ne voulaient pas recevoir Jésus dirent: Seigneur, veux-tu que nous commandions que le feu descende du ciel et les consume? Jésus se tourna vers eux et les réprimanda, disant : Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés. Car le fils de l'homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver." (Luc 9:54-56).
Par contre, la tolérance n'est pas obligée de dire que toutes les croyances se valent et que la vérité absolue n'existe pas ! On peut croire que Jésus est le seul chemin vers le Dieu unique et tolérer que d'autres croient autre chose. On peut annoncer la Bonne Nouvelle de la vie éternelle en Jésus-Christ sans l'imposer aux autres par la violence ou la manipulation. Le Seigneur Jésus était ainsi; il a déclaré : "Je suis le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par moi", et pourtant il a manifesté plus de tolérance envers les prostituées, les lépreux, les Samaritains, les Publicains et les gens de mauvaise vie que n'importe qui en Judée. Jésus a appelé les hommes à la repentance en les avertissant de la punition éternelle de Dieu, la géhenne, mais il a sacrifié sa vie sur la croix pour que tous aient une chance d'être sauvés.
En tant que chrétien biblique, je ne crois pas que toutes les religions soient bonnes, que la nature doit être vénérée et que les dieux de la Wicca soient inoffensifs et utiles. Je crois qu'il s'agit d'une terrible ruse de Satan qui abuse du vide spirituel de notre époque. Je crois que de nombreux pratiquants de la Wicca sont sincères, mais séduits et égarés par cette religion ésotérique et peuvent subir de graves dommages psychiques et spirituels en pratiquant la magie et les états altérés de conscience. Cela n'enlève rien au fait que j'aime, respecte et prie pour ces personnes.
Les conséquences de la pratique de la magie et du paganisme sont terribles. Dieu, dans son amour, veut nous les éviter.
Les wiccans s'insurgent que l'on puisse parler de danger par rapport à leur foi. Voici pourtant les avertissements de Dieu à cet égard :
Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel. (Deutéronome 18:10-12).
Nul n'est saint comme l'Eternel; il n'y a point d'autre Dieu que toi; il n'y a point de rocher comme notre Dieu. (1Samuel 2:2)
Tu t'es fatiguée à force de consulter: qu'ils se lèvent donc et qu'ils te sauvent, ceux qui connaissent le ciel, qui observent les astres, qui annoncent, d'après les nouvelles lunes, ce qui doit t'arriver! Voici, ils sont comme de la paille, le feu les consume, ils ne sauveront pas leur vie des flammes: ce ne sera pas du charbon dont on se chauffe, ni un feu auprès duquel on s'assied. Tel sera le sort de ceux que tu te fatiguais à consulter. Et ceux avec qui tu as trafiqué dès ta jeunesse se disperseront chacun de son côté: il n'y aura personne qui vienne à ton secours. (prophète Esaïe 47:13-15).
Ils abandonnèrent tous les commandements de Dieu et se firent deux veaux en métal fondu, ils fabriquèrent des idoles d'Astarté, ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux, et ils servirent Baal. (2Rois 17:16).
On raconte comment vous vous êtes convertis à Dieu en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai... qui nous délivre de la colère à venir. (1Thess 1:9-10)
Les anges : ce que la Bible en dit
Voir aussi: