Dalaï-Lama et boudisme tibétain

Nota: l'orthographe correcte n'est pas boudisme mais bouddhisme Munich-Juillet 2000 traduit de IDEA N°8,

Le boudisme tibétain n’est ni philanthropique ni tolérant, et son plus haut représentant, le Dalaï Lama, n’est pas un saint. Cette déclaration émane de deux anciens collaborateurs du Dalaï-Lama prix Nobel de la Paix.

Selon Herbert et Mariana ROETTGEN (de Munich), experts en études culturelles, le Dalaï Lama, au lieu d’être le champion de la tolérance religieuse et de la co-existence des croyances, est le chef d’un système religieux dont le but est de conquérir le monde.

Pendant les années 1980, Herbert Roettgen faisait partie du groupe de soutien allemand au Dalaï Lama. Il publiait ses écrits et organisait ses meetings. Mariana Roettgen était engagée dans la promotion du dialogue inter-religieux.

Plus tard, ils décidèrent de réaliser une étude critique sur l’arrière-plan occulte et politique du boudisme tibétain. Les résultats de cette recherche furent publiés sous les pseudonymes de Victor et Victoria Trimondi sous le titre "L’ombre du Dalaï Lama".

Le Tantra Kalachakra préféré du Dalaï Lama contient "une manipulation consciente des croyants, l’usage flagrant d’images d’ennemis et d’une éthique de guerriers agressifs." Le Tantra prône également un " scénario apocalyptique qui est censé arriver en 2327 lorsqu’une bouddhocratie sera établie après la destruction des tenants d’autres confessions." Il a inspiré des groupes fascistes aussi bien que le fameux gourou de la secte japonaise Shoka Ashara responsable de l’empoisonnement de foules au gaz sarin.

Le boudisme tibétain est centré sur la magie, la croyance aux esprits et les rituels de sacrifice dans lesquels l’invocation d’esprits impurs joue un rôle vital. En fait, la "déesse protectrice personnelle" du Dalaï Lama est un démon (nommé Palden Lhamo) dont le rôle est de détruire " les ennemis de la vraie doctrine ".

On dit que ce démon a tué son propre fils parce qu’il refusait d’adhérer au boudisme. Des illustrations iconographiques dépeignent Palden Lhamo traversant un lac de sang. "Comment un homme saint comme le Dalaï Lama peut parler de tolérance religieuse s’il possède une déesse protectrice comme celle-là ?" demande Mariana Roettgen.

Selon M. et Mme Roettgen, les discours sur l'oecuménisme du Dalaï Lama sont une farce à moins que les pratiques secrètes du Tantra Kalachacra soit dévoilées également. Les théologiens en vue ne prennent pas assez au sérieux les propres affirmations du boudisme tibétain, plaident-ils.

Lors de réunions inter-religieuses, il est parfois affirmé que les boudistes sont des chrétiens en mieux. Pour des raisons politiques et religieuses évidentes, les représentants officiels du boudisme tibétain et leurs disciples occidentaux ne tolèrent aucune critique sur le Dalaï Lama et sur l’exploitation des femmes en leur sein. Les contrevenants sont calomniés et reçoivent même des menaces de mort.


Cet article sur le boudisme tibétain et le Dalaï Lama n'étant pas politiquement correct, nous avons demandé avant de le reproduire leur avis à 5 spécialistes des sectes (de plusieurs organisations indépendantes)

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